Penya Barcelonista de Lisboa

dilluns, de desembre 12, 2011

Le patron, c’est le Barça !


Au terme d’une rencontre très animée, le FC Barcelone est allé s’imposer ce samedi sur la pelouse du Real Madrid (3-1), et a remporté son troisième clasico en 2011. Grâce à cette victoire, les Blaugrana prennent les commandes de la Liga. (Photo Presse-Sports)
Pour la première fois depuis plusieurs années, le Real Madrid s’avançait vers un clasico, le 216e du nom, dans la peau du favori après un début de saison idyllique. En Liga comme en Ligue des champions, la maîtrise des Merengue laissait supposer que les protégés de José Mourinho étaient cette fois supérieurs à une formation du FC Barcelone bien moins souveraine depuis la reprise. Tout ceci n’était qu’un leurre. De nouveau balayé (1-3) devant son public par les Catalans, le Real a encore mesuré le fossé qui le sépare du champion d’Espagne et d’Europe en titre.
Benzema dans l’histoire des clasicos
Tout avait pourtant commencé à merveille pour des Madrilènes incisifs d’entrée de jeu, sous l’impulsion de Karim Benzema. Auteur de l’ouverture du score après… 22 secondes de jeu, l’ancien Lyonnais a inscrit le but le plus rapide de l’histoire des Clasicos. Un bonheur qui allait être de courte durée pour une formation désorientée face à la justesse et la maîtrise technique catalane. Sanchez (30e) se chargeait de ramener les deux équipes à égalité, avant que Xavi (53e), d’une reprise pleine de réussite, ne trompe Casillas dès le retour des vestiaires.

Barcelone sur la plus haute marche
Maître des débats après le repos, le Barça aurait pu l’emporter bien plus largement avec un peu plus de réalisme. Le but de Fabregas (66e), son huitième en dix titularisations en Championnat, est finalement venu mettre un terme à tout suspense. Grâce à cette troisième victoire en sept confrontations face au Real Madrid en 2011, le FCB, qui compte un match de plus au compteur, prend les commandes de la Liga à la différence de buts. Quelle que soit la philosophie de jeu ou la tactique mise en place par Madrid, rien n’y fait : le patron, c’est bien le Barça ! – C. La.
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